Jean et Marie-Madeleine semblent reliés par une sensibilité commune qui les rend perméables au Mystère. L’un et l’autre, au pied de la croix, le cœur tourné vers leur Seigneur, l’un et l’autre présents dans les passages qui signent leur apostolat : la mort de Jésus sur la croix et le mystère de sa Résurrection. Une fraternité d’âmes qui témoignent de leur amour dans un langage qui leur est propre, deux cœurs en contemplation, deux cœurs ouverts au Mystère et unis dans la Présence du Verbe fait chair et qui vient « derrière tous nos masques, caresser nos visages »…

Pourquoi dire l’Évangile de Jean ? Peut-être simplement à cause de la joie qui, depuis des années, anime Gérard Rouzier lorsqu’il se dit à lui-même le Prologue de cet Évangile. Envie de dire ce texte génial, envie de partager cette joie. Oser dire ce poème inspiré qui exprime avec tant de beauté et de simplicité la trame et la substance du message chrétien.

Pourquoi dire l’Évangile de Jean ? Peut-être simplement à cause de la joie qui, depuis des années, anime Gérard Rouzier lorsqu’il se dit à lui-même le Prologue de cet Évangile. Envie de dire ce texte génial, envie de partager cette joie. Oser dire ce poème inspiré qui exprime avec tant de beauté et de simplicité la trame et la substance du message chrétien.

Pourquoi dire l’Évangile de Jean ? Peut-être simplement à cause de la joie qui, depuis des années, anime Gérard Rouzier lorsqu’il se dit à lui-même le Prologue de cet Évangile. Envie de dire ce texte génial, envie de partager cette joie. Oser dire ce poème inspiré qui exprime avec tant de beauté et de simplicité la trame et la substance du message chrétien.

Intérioriser des textes bibliques, les ruminer, les « manduquer », les « manger », puis enfin « dire » la Parole devant un auditoire… Que l’on soit croyant ou non-croyant, les textes puissants et rugueux de la Bible infusent l’âme et interpellent l’Esprit comme une profonde méditation sur sa vie personnelle.

Par une appropriation des paroles de “l’ange”, une mémorisation méditée, nous entrons dans un dialogue avec Cela qui est en nous au plus profond, nous appelle, nous visite, nous parle…

Méditations, Qi Gong, Yoga du son, Clarification, Chant sacré, Théâtre, Écriture, Danse Biodynamique, Zazen, Cercles, Dyades… Venez découvrir à la rentrée 2024 les activités et ateliers réguliers du centre avec les intervenants de l’association durant tout un weekend portes ouvertes autour d’Angélique Boulay, Antoine Jeangeot, Aurélie Chalbos, Gabriel Feat, Gérard Rouzier, Marie-Séraphine Vincent, Véronika Dimicoli, Vincent Fruneau… et bien d’autres surprises !

Méditations, Qi Gong, Yoga du son, Clarification, Tai Ji Quan, Dire la Bible, Énergétique traditionnelle chinoise, Chant sacré, Théâtre, Écriture, Danse Biodynamique, Zazen… Venez découvrir à la rentrée 2025 les activités et ateliers réguliers du centre avec les intervenants de l’association durant tout une semaine portes ouvertes avec Angélique, Antoine, Aurélie, Gabriel, Gérard, Jimmy, Jonas et Marie-Séraphine.

Jean et Marie-Madeleine semblent reliés par une sensibilité commune qui les rend perméables au Mystère. L’un et l’autre, au pied de la croix, le cœur tourné vers leur Seigneur, l’un et l’autre présents dans les passages qui signent leur apostolat : la mort de Jésus sur la croix et le mystère de sa Résurrection. Une fraternité d’âmes qui témoignent de leur amour dans un langage qui leur est propre, deux cœurs en contemplation, deux cœurs ouverts au Mystère et unis dans la Présence du Verbe fait chair et qui vient « derrière tous nos masques, caresser nos visages »…

Pourquoi dire l’Évangile de Jean ? Peut-être simplement à cause de la joie qui, depuis des années, anime Gérard Rouzier lorsqu’il se dit à lui-même le Prologue de cet Évangile. Envie de dire ce texte génial, envie de partager cette joie. Oser dire ce poème inspiré qui exprime avec tant de beauté et de simplicité la trame et la substance du message chrétien.

Au fil des tableaux qui se succèdent, Van Gogh parle. Il se raconte dans les lettres qu’il écrit à son frère Théo. À travers elles, il lance son appel, crie sa faim de Dieu, sa soif d’absolu, l’exclusion, la solitude, le désir de créer, et son amour infini, jusqu’à la brisure, jusqu’à la folie, jusqu’à la fin.

Pourquoi dire l’Évangile de Jean ? Peut-être simplement à cause de la joie qui, depuis des années, anime Gérard Rouzier lorsqu’il se dit à lui-même le Prologue de cet Évangile. Envie de dire ce texte génial, envie de partager cette joie. Oser dire ce poème inspiré qui exprime avec tant de beauté et de simplicité la trame et la substance du message chrétien.

Au fil des tableaux qui se succèdent, Van Gogh parle. Il se raconte dans les lettres qu’il écrit à son frère Théo. À travers elles, il lance son appel, crie sa faim de Dieu, sa soif d’absolu, l’exclusion, la solitude, le désir de créer, et son amour infini, jusqu’à la brisure, jusqu’à la folie, jusqu’à la fin.

Jean et Marie-Madeleine semblent reliés par une sensibilité commune qui les rend perméables au Mystère. L’un et l’autre, au pied de la croix, le cœur tourné vers leur Seigneur, l’un et l’autre présents dans les passages qui signent leur apostolat : la mort de Jésus sur la croix et le mystère de sa Résurrection. Une fraternité d’âmes qui témoignent de leur amour dans un langage qui leur est propre, deux cœurs en contemplation, deux cœurs ouverts au Mystère et unis dans la Présence du Verbe fait chair et qui vient « derrière tous nos masques, caresser nos visages »…

Au fil des tableaux qui se succèdent, Van Gogh parle. Il se raconte dans les lettres qu’il écrit à son frère Théo. À travers elles, il lance son appel, crie sa faim de Dieu, sa soif d’absolu, l’exclusion, la solitude, le désir de créer, et son amour infini, jusqu’à la brisure, jusqu’à la folie, jusqu’à la fin.

Pourquoi dire l’Évangile de Jean ? Peut-être simplement à cause de la joie qui, depuis des années, anime Gérard Rouzier lorsqu’il se dit à lui-même le Prologue de cet Évangile. Envie de dire ce texte génial, envie de partager cette joie. Oser dire ce poème inspiré qui exprime avec tant de beauté et de simplicité la trame et la substance du message chrétien.

Jean et Marie-Madeleine semblent reliés par une sensibilité commune qui les rend perméables au Mystère. L’un et l’autre, au pied de la croix, le cœur tourné vers leur Seigneur, l’un et l’autre présents dans les passages qui signent leur apostolat : la mort de Jésus sur la croix et le mystère de sa Résurrection. Une fraternité d’âmes qui témoignent de leur amour dans un langage qui leur est propre, deux cœurs en contemplation, deux cœurs ouverts au Mystère et unis dans la Présence du Verbe fait chair et qui vient « derrière tous nos masques, caresser nos visages »…

Pourquoi dire l’Évangile de Jean ? Peut-être simplement à cause de la joie qui, depuis des années, anime Gérard Rouzier lorsqu’il se dit à lui-même le Prologue de cet Évangile. Envie de dire ce texte génial, envie de partager cette joie. Oser dire ce poème inspiré qui exprime avec tant de beauté et de simplicité la trame et la substance du message chrétien.

Pourquoi dire l’Évangile de Jean ? Peut-être simplement à cause de la joie qui, depuis des années, anime Gérard Rouzier lorsqu’il se dit à lui-même le Prologue de cet Évangile. Envie de dire ce texte génial, envie de partager cette joie. Oser dire ce poème inspiré qui exprime avec tant de beauté et de simplicité la trame et la substance du message chrétien.

Au fil des tableaux qui se succèdent, Van Gogh parle. Il se raconte dans les lettres qu’il écrit à son frère Théo. À travers elles, il lance son appel, crie sa faim de Dieu, sa soif d’absolu, l’exclusion, la solitude, le désir de créer, et son amour infini, jusqu’à la brisure, jusqu’à la folie, jusqu’à la fin.

Au fil des tableaux qui se succèdent, Van Gogh parle. Il se raconte dans les lettres qu’il écrit à son frère Théo. À travers elles, il lance son appel, crie sa faim de Dieu, sa soif d’absolu, l’exclusion, la solitude, le désir de créer, et son amour infini, jusqu’à la brisure, jusqu’à la folie, jusqu’à la fin.