Mitchélée, grande voyageuse, notamment en Inde qu’elle ressent intimement comme la Mère de l’Humanité, chante dans des traditions et langues différentes… aussi bien des chants liturgiques que profanes ; elle dit d’elle-même qu’elle chante pour faire entendre le Silence. Cette trame vibratoire de silence de laquelle émerge le son est un joyau précieux commun à tous les humains dès lors qu’ils se mettent à son écoute.
Par ailleurs, Mitchélée conte ce qui la traverse et étudie également les « grands textes » des différentes traditions qui sont une source constante de questionnement et d’étonnement… leur interprétation est, elle aussi, source d’un inouï dont l’humain ne doit jamais se priver.